LA BOUTIQUE

 

COMMANDOS PARACHUTISTES

Héritiers des S.A.S. de Saint Marcel et de Arnhem, les " Bérets Rouges " ont écrit de fabuleuses pages d'histoire militaire. En Indo, ils furent engagés partout où une situation difficile exigeait l'intervention de troupes de choc et d'élite... Robert Gaget, l'auteur de " Commandos Parachutistes " embrasse la carrière des armes comme deuxième classe, au 2ème Bataillon Colonial de Commandos Parachutistes. A 19 ans il va découvrir de plein fouet la Guerre, la Haine, la Mort et la Gloire. Le Bataillon est partout, appelé pour de multiples missions de contre-guerrilla : embuscades, raids sur des fabriques d'armes ou les P.C. Viêt-minh, saut d'opération pour porter secours à la garnison d'un poste submergé par l'ennemi, opérations amphibies avec la marine... Le jeune para se transforme vite en baroudeur efficace et endurci...

LE SOUS-OFF

Quinze ans dans la tourmente, des maquis des Cévennes à la guerre d'Algérie, en passant par l'Indochine. Quinze ans de souffrances et de gloire au service de la France. Lucien Péréra, officier de la Légion d'honneur, officier du mérite, médaillé militaire, onze fois cité au feu, est l'archétype du sous-off, toujours à la pointe des combats, toujours prêt à payer de sa personne pour remporter la victoire.

LES SOLDATS OUBLIES

Au mois de septembre 1950 s'engageait la bataille de Cao Bang, tournant décisif dans la guerre d'Indochine. Depuis le mois précédent, le Viêt-minh disposait sur la célèbre RC 4 d'un corps de bataille de plus de 30 000 hommes puissamment armés par la Chine… Le livre de Louis Stien, l'un des officiers "fondateurs" de cette unité d'élite, trois fois blessé avant Cao Bang, est le récit pathétique et précis de ces combats qui s'achevèrent, pour ses camarades et lui, par quatre années d'internement dans les camps du Viêt-minh.

LETTRES D'INDOCHINE

Près d'un demi-siècle s'est déjà écoulé depuis la guerre d'Indochine, qui appartient désormais à l'histoire. Mais tant de courage, d'espoir et de souffrance ne peuvent disparaître de nos mémoires. J'ai donc imaginé un livre qui réunirait les plus belles lettres échangées entre les combattants de la guerre d'Indochine - officiers, sous-officiers, hommes de troupe- et leurs familles. Ces Lettres d'Indochine deviendront le flambeau de la gloire, du sacrifice, de la mémoire et de l'histoire. Général Bigeard

INDOCHINE DE MA JEUNESSE

Emile LEBARGY s'est engagé à dix huit ans. Il voulait être parachutiste, il voulait connaître l'Indochine. Il quitte tout, sa famille, son jeune passé et part vivre son aventure. Pendant son séjour en Extrême Orient il prend des notes sur un carnet pour garder la mémoire des petites et grandes joies, des petites et grandes misères de ces années. Un demi-siècle s'est écoulé, son carnet dormait au fond d'une cantine, et pour le cinquantenaire de la création de son bataillon Il a pensé qu'il serait bon de le faire revivre, pour la mémoire des copains, et pour faire connaître aux jeunes générations ce qu'était cette guerre trop souvent oubliée. Ce n'est pas une fresque historique qu'il nous livre, ni une leçon de stratégie, mais le récit vivant, drôle, émouvant, dramatique de la vie quotidienne de l'Indo des années 1950 tiré de ce "carnet de route " complété par des souvenirs, des photos et des documents d'époque. Ce récit, "à ras la rizière " comme le dit l'auteur, restitue au plus près, la vie d'un simple parachutiste, aux prises avec un climat débilitant, une nature impitoyable, un ennemi implacable.